vendredi 23 octobre 2009
jeudi 22 octobre 2009
L'Union : Châlons-en-Champagne / Emmanuel Galante à Paris Il veut faire un tabac à l'Assemblée nationale
Pas de chaîne cette fois-ci pour le patron du bar fumeurs « Le Club » de Châlons-en-Champagne. Emmanuel Galante s'est tranquillement installé sur un banc, hier matin, à quelques pas de l'Assemblée nationale.
« Je suis parti avec un duvet, des vêtements chauds et de pluie », raconte le cafetier, joint hier par téléphone. Pour sa première nuit, il a été hébergé par un ami à Paris. « Mon action commence véritablement aujourd'hui », expliquait-il hier, l'air déterminé. « Et je resterai là le temps qu'il le faudra. » ... Lire la suite...
mercredi 21 octobre 2009
L'hotellerie-restauration : Le patron châlonnais du bar fumeur poursuit son combat près de l'Assemblée nationale
France info : Le décret anti-tabac est désastreux pour les cafetiers
mardi 20 octobre 2009
Le Parisien : "Un irréductible gaulois en guerre contre la loi anti-tabac"
Il est monté à Paris avec pour seuls bagages « un duvet, des habits chauds, des vêtements de pluie » et sa boîte de cigarillos. Un bon paquet de tracts, aussi, qu’il va distribuer aux passants...
Par Hélène Bry, Le Parisien, édition du 20 octobre 2009.
Emmanuel Galante lutte contre l'interdiction totale de fumer dans les bars et cafés
Depuis le 20 octobre et pour une durée indéterminée, Emmanuel Galante manifeste devant l'Assemblée Nationale pour dénoncer l'hypocrisie de la loi anti-fumeurs et du décrêt d'interdiction de fumer dans les lieux publics.
Il possédait un bar à Châlons en Champagne (51000), le "bar le club". Il y avait investi ses économies, à 58 ans, pour se sortir du chômage. Mais, pour avoir osé protester contre l'interdiction de fumer telle qu'elle était appliquée, et osé demander ouvertement et publiquement un aménagement du Décret d'application, les foudres policières et judiciaires se sont abattues sur lui.
Malgré ses protestations, ses deux grèves de la faim de 26 et 19 jours il n'a pas été entendu. Pire, il a été condamné trois fois par les tribunaux. Les descentes de police dans son bar ont fait fuir sa clientèle et aujourd'hui, il est en liquidation judiciaire.
Aujourd'hui, des milliers de bars sont hors-la-loi en laissant fumer leurs clients dans leur établissement. Avec près de 10.000 fermetures d'établissements en 2008, toute une profession est sur le point de disparaître dans l'indifférence générale. Une véritable chape de plomb s'est abattue sur ce sujet, un personne n'ose élever la voix, sauf cet homme qui n'a plus rien à perdre. C'est intolérable dans notre pays dont la devise est : LIBERTE EGALITE FRATERNITE.
Afin que l'égalité des droits existe, et la liberté soit respectée dans un esprit de responsabilité, nous demandons qu'enfin soit aménagé pour les petits établissements le décret d'interdiction de fumer.
lundi 19 octobre 2009
Les petits établissements souffrent de la loi anti-tabac
La baisse de la clientèle, avait entraîné, avec la conjoncture défavorable à l'époque, une baisse de chiffre d'affaires de 9%.
Les grosses brasseries ont pu, elles, tirer leur épingle du jeu. L'interdiction sans nuance, pour tous et sans prendre en compte la réalité et la diversité des situations a donc eu des effet terribles.
source: L'express : Décret anti-tabac: les brasseries en profitent